BOLDO BIO* - écopack 21 comprimés

• Une formule avec le minimum d’excipient 

Une formule à base de 7 plantes sous formes de poudre ou d’extraits concentrés - les actifs de la formule - et juste quelques excipients pour assurer la forme en comprimés.

• Une formule 100% bio

Nous sommes engagés au près d’un organisme certificateur agréé, ECOCERT, qui bénéficie de plus de 30 années d'expérience en audit et en certification biologique en France et dans plus de 130 pays. 100% des plantes utilisées dans notre formule sont certifiées BIO.

• Une formule sans arôme et sans colorant

Chez Fitoform, pas de superflu ! Peut-être que des arômes ou colorants rendraient le comprimé plus « attrayant », mais nous préférons laisser la place aux plantes et aux actifs. 

• Une dose efficace et une prise facilitée

Notre formule est présentée en comprimés. Les ingrédients de Boldo bio sont d’abord mélangés sous forme de poudre, puis déposés dans de petites cavités à la forme des futurs comprimés. Ensuite, une intense force de pression est exercée, pour solidifier ce mélange. Parfois, il est nécessaire d’ajouter un excipient, pour assurer la bonne tenue du comprimé, mais on veille toujours à en mettre le moins possible… parfois aucun, d’ailleurs ! Ce sont nos actifs qui sont les stars ! Et le comprimé respecte particulièrement ces actifs.

Facile à transporter et à avaler, le comprimé est une forme galénique qui respecte et protège particulièrement les actifs qui le composent contre les risques externes de dégradation (comme l’oxygène, par exemple). 

• Une sélection de plantes de qualité

Nous privilégions au maximum les circuits courts, l’origine France dès que possible, la qualité BIO systématique pour nos plantes, des producteurs qui apportent des garanties en termes de qualité, d’efficacité (bulletin d’analyse sur les actifs des plantes) et de sécurité (plan de contrôle). Du sérieux, quoi ! 

• Focus sur la qualité de la formule

100% d’ingrédients naturels 

71% d’ingrédients actifs

71% ingrédients BIO

Quantité totale de plantes par dose journalière recommandée : 1300mg (calculée à partir de la somme des poudres de plantes et des équivalents plantes issus des extraits)

Point sur l’importance de la détoxication

La détoxication est un mécanisme naturel, mis en place par l’organisme pour lutter contre les molécules étrangères, pathogènes voire toxiques auxquelles nous sommes exposés dans notre vie moderne (pollution, métaux lourds, additifs alimentaires, etc…). Il existe 5 organes d’excrétion, également appelés émonctoires, dont les 2 principaux sont le foie et les reins. On va se focaliser ici sur les rôles détox du foie, qui est super agent d'élimination des éléments toxiques ou pathogènes provenant du tractus digestif.

Le foie joue aussi un rôle essentiel dans le cycle de décomposition de l'hémoglobine. Les globules rouges ont une durée de vie d'environ 120 jours, puis ils sont détruits dans la rate, sous forme de bilirubine libre, qui peut être nocive. C’est là que le foie intervient, en la transformant en bilirubine conjuguée, non toxique, qui est un des composants majeurs de la bile.

Autre processus de détoxification par le foie : l'ammoniaque, qui est naturellement produite par le colon lors de la décomposition du contenu digestif, a une importante toxicité neurologique. Les cellules hépatiques vont le transformer en urée, qui sera éliminée par les urines.

Enfin, l’absorption de l’alcool est également gérée par le foie, qui transforme l’éthanol en acétaldéhyde puis en acétate, qui rejoint la circulation sanguine et sera éliminé par voie rénale. Il est à noter que l’éthanol et l'acétaldéhyde ont un effet perturbateur et toxique sur les cellules hépatiques qui peuvent, à long terme, provoquer une stéatose hépatique.

Les médicaments pris par voie orale parviennent de la même façon au foie : celui-ci absorbe et élimine une partie des substances actives du médicament. Les dosages des médicaments prennent en compte cette intervention du foie, qu'on appelle « effet de premier passage » [1].

Focus sur les antioxydants 

Les antioxydants sont des molécules qui protègent les cellules et permettent de détruire les radicaux libres. Pour rappel, les radicaux libres sont des molécules naturelles, issues de l’oxydation des cellules dans l’organisme. En trop grande quantité dans le corps, les radicaux libres peuvent être nocifs, pouvant contribuer à l'apparition de maladies cardiovasculaires, voire certains types de cancers et d'autres maladies associées au vieillissement. Il est donc important, grâce aux antioxydants, de lutter contre un excès de radicaux libres. Le stress oxydatif est un déséquilibre entre les radicaux libres et les antioxydants.

Les systèmes antioxydants de l’organisme sont complexes et nombreux, mais ne sont pas infaillibles. D’où l’intérêt grandissant pour les antioxydants - qu’ils soient alimentaires ou sous forme de compléments nutritionnels - pour pallier les nombreuses agressions extérieures auxquelles est exposé l’homme moderne (pollution, mauvaise alimentation, etc…).

Pour une détoxication efficace, il est donc primordial de fournir à l’organisme une quantité adaptée d’antioxydants, que l’on va trouver non seulement dans notre alimentation, mais aussi dans des compléments nutritionnels comme Boldo Bio, dont la présence de curcuma, romarin, fenouil et radis noir - entre autres – assure ici un bon apport en antioxydants, et va soutenir le foie dans ses mécanismes de détox [2] !

Le foie joue également un rôle important dans de nombreuses fonctions physiologiques, car c'est un lieu de synthèse et/ou de stockage majeur pour les protéines, les glucides, les vitamines et certains ions.

Pour le métabolisme des protéines, le foie participe à la dégradation des protéines en urée – pour une élimination par les reins – et synthétise la majorité des protéines sanguines, comme l’albumine, les protéines de l’inflammation et les facteurs de coagulation.

Le foie intervient aussi dans le métabolisme des lipides, en transformant les lipides circulants en triglycérides et les stockant dans les cellules hépatiques. En réponse aux besoins énergétiques du corps, ces triglycérides peuvent être ensuite divisés en acides gras et utilisés par l’organisme. Dans le même esprit, le foie participe au métabolisme des vitamines liposolubles A et D, et au stockage de la vitamine K.

Quant aux glucides (glucose, fructose, galactose), ils sont transformés en glycogène, qui permet de réguler la glycémie par les phénomènes de glycogénogénèse et glycogénolyse. Ce glycogène est stocké au sein des cellules hépatiques. En fonction des besoins de l'organisme, le foie peut retransformer ce glycogène en glucose, et le libérer dans la circulation sanguine. Si les réserves de glycogène sont épuisées, les cellules hépatiques peuvent aussi synthétiser du glucose à partir d'acides aminés, notamment. On parle alors de néoglucogenèse. Le foie est le seul organe à la fois hypoglycémiant et hyperglycémiant [5].

Une alimentation équilibrée et adaptée peut aider le foie à fonctionner sereinement, sans surcroît de travail. Rappelons que cet organe est capable de métaboliser et d’éliminer l’alcool, les toxiques mais aussi les déchets de l’alimentation et des médicaments.

Voici donc quelques conseils pour prendre soin de son foie. Sans interdit bien sûr, juste avec un peu de modération !

_Essayer de manger varié, équilibré, en piochant chaque jour dans tous les groupes d’aliments, en se faisant plaisir et respectant les saisons.

_Privilégier des aliments riches en fibres, comme les légumes, mais aussi les pains complets - à la place du traditionnel pain blanc - les céréales complètes et féculents complets (riz, pâtes, quinoa, boulgour…).

_Limiter la consommation d’alcool, en instaurant des jours sans alcool, et boire au moins 1,5 à 2L d’eau par jour.

_Limiter les aliments trop gras et trop sucrés (viandes grasses, charcuteries, gâteaux, viennoiseries, sodas…), donc éviter le plus possible les aliments transformés.

_Limiter la consommation de sel. En ayant la main légère sur la salière, en utilisant par exemple une sauce soja allégée en sel ou du gomasio (un mélange de sel et de sésame), mais aussi des épices et herbes aromatiques (ail, curcuma, curry, paprika).

_Le soir, préférer des repas à base de légumes, afin de ne pas trop solliciter le foie pendant la nuit, le moment où il est le plus actif ! 

_Chaque jour, privilégier le thé vert au café. 

_Consommer des aliments riches en vitamine E, une vitamine antioxydante qui, selon les dernières études, permettrait de lutter contre la dégradation des cellules du foie. On la retrouve avant tout dans les huiles végétales (germe de blé, tournesol, arachide…), mais aussi dans les oléagineux comme les amandes, noisettes, noix et pignons, par exemple, ainsi que dans l’avocat et les épinards.

_Quant au pamplemousse, en plus d’être riche en antioxydants, il boosterait les enzymes permettant de détoxifier le foie. Alors ne pas hésiter à s’en régaler régulièrement !

Si vous vous sentez fatigué et lourd après les repas, ressentez un écœurement matinal, avez une haleine chargée le matin, ou la sensation d’avoir l’esprit embrumé, ces symptômes peuvent faire penser à un foie paresseux.

C’est sûrement le moment de soutenir son foie, justement en choisissant un complément alimentaire spécifique de la détoxication hépatique, comme notre formule Boldo bio.

En parallèle, on peut également, en complément des conseils pour une alimentation équilibrée, voire carrément détox, privilégier la consommation d’aliments spécifiquement hépatotoniques, comme l’artichaut, le radis noir, mais aussi le curcuma, qui présente le triple avantage d’être puissamment anti-inflammatoire, antioxydant et hépato-protecteur [6].

Le boldo (Peumus boldus) est un arbuste originaire du Chili, où il est utilisé comme épice et comme plante médicinale depuis des siècles. En phytothérapie, les feuilles séchées sont privilégiées pour stimuler la production et la sécrétion de bile dans l’intestin, donc très utiles en cas de digestion difficile ! De l’écorce est extraite une substance, la boldine, qui entre elle aussi dans la composition de plusieurs médicaments luttant contre les troubles digestifs.

Les études cliniques sur l’efficacité du boldo sont rares. L’usage du boldo repose donc essentiellement sur des données empiriques, accumulées depuis des siècles [7].

Le Fenouil commun, de son nom latin Foeniculum vulgare, est une plante vivace d’origine méditerranéenne, désormais cultivée partout en Europe. C’est l’atout digestion par excellence ! En effet, le fenouil est très utile pour lutter contre les ballonnements, colites et autres maux d’estomac, grâce à ses propriétés antispasmodiques. Il est également adapté aux plus jeunes, notamment dans le traitement des coliques infantiles.

Ce sont les fibres douces qu’il contient, ainsi que l’anéthol - mais aussi l’estragol et la fenchone - qui lui confèrent ses propriétés digestives. Une étude britannique de 2012 le classe d’ailleurs parmi les aliments fonctionnels aux propriétés améliorant la digestion [8].

Excellente source d’antioxydants, le fenouil n’a pas son pareil pour lutter contre le stress oxydatif et le vieillissement prématuré. C’est également une bonne source de vitamines (B, C et E en particulier), et il contient des poly acétylènes, aux propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires reconnues [9].

Le Romarin est un arbrisseau touffu, qui pousse dans le bassin méditerranéen. En cuisine, on apprécie ses qualités aromatiques ; en phytothérapie, on utilise ses feuilles et ses sommités fleuries séchées, ou bien son huile essentielle. Le romarin stimule le foie, et facilite la production d’acides biliaires, donc la transformation et l’élimination des déchets. 

Il est également réputé pour soulager les digestions difficiles et les maux de ventre. C’est enfin un bon antioxydant, qui agit contre le vieillissement cellulaire prématuré.

En médecine traditionnelle asiatique, le curcuma est connu pour stimuler la digestion. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a d’ailleurs reconnu son efficacité dans le traitement des troubles digestifs. Il est d’ailleurs utilisé à cet effet depuis plus de 4 000 ans en médecine ayurvédique, protégeant les parois de l’estomac et encourageant le transit. Depuis quelques années, les études se multiplient pour étudier l’apport de la complémentation en curcuma pour améliorer les syndromes d’intestin irritable.

Impossible d’évoquer le curcuma sans parler de sa puissante action antioxydante, qui en fait un allié de taille pour conserver un foie en bonne santé !! La curcumine combat l’action des radicaux libres nocifs qui, pour rappel, sont à l’origine du stress oxydatif, lui-même responsable du vieillissement prématuré des cellules hépatiques. 

Enfin, le curcuma et son effet anti-inflammatoire sont connus pour favoriser la souplesse des articulations [10, 11]. 

Les études menées sur des patients atteints de stéatose hépatique, aussi appelée « maladie du foie gras » ou NASH, ont révélé des résultats ultra-positifs dans la diminution drastique de l’inflammation et des surcharges graisseuses présentes dans le foie, pour une amélioration, en quelques semaines, de la fonction hépatique. Mais si les feuilles d’artichauts ont des propriétés curatives, elles offrent également une fonction régénérante particulièrement intéressante. En effet, elles auraient la capacité de stimuler la croissance de nouveaux tissus hépatiques.

D’autre part, l’artichaut affiche une grande richesse en fibres alimentaires, notamment en fibres insolubles, qui favorisent le transit intestinal. Une action qui est renforcée par l’inuline, sucre non digestible qui agit comme un prébiotique dans l’intestin et le côlon. Autrement dit, il facilite la multiplication des bonnes bactéries et participe au bon équilibre de notre flore intestinale [12, 13, 14, 15].

Comme ses alliés de la formule Hépactif Bio, les vertus « détox » du radis noir - Raphanus sativus - proviennent de son action sur le foie, pour lequel il favorise la sécrétion de la bile - on dit qu’il a une action cholérétique – donc il facilite la digestion, notamment en augmentant la motilité intestinale, c’est-à-dire les mouvements de l’intestin.

L'activité antioxydante et antiradicalaire de la racine de radis a également été évaluée à l'aide de différents systèmes modèles [16].