BOLDO BIO* - écopack 21 comprimés
Pour favoriser le bon fonctionnement du foie et la digestion.
Ashwagandha BIO, pour mieux gérer son stress, réguler son humeur, et retrouver sa belle énergie !
STABILITE EMOTIONNELLE DU STRESS
L'ashwagandha - Withania somnifera - est un petit arbuste ligneux de la famille des Solanacées, qui pousse en Inde, en Afrique et dans le bassin méditerranéen. Les racines, robustes et charnues, sont les principales parties de la plantes utilisées en thérapeutique, elles sont parfois appelées « ginseng indien ». Mais les feuilles, tiges, baies vertes, fruits (appelés « cerises indiennes d’hiver »), grains et écorce peuvent aussi être valorisés. L’ashwagandha est couramment disponible sous forme de « churna », une fine poudre tamisée qui peut être mélangée avec de l'eau, du ghee (beurre clarifié) ou du miel [1].
L'ashwagandha est l’une des herbes les plus importantes de l'Ayurveda (le système de médecine traditionnelle en Inde), utilisée depuis des millénaires comme Rasayana, pour tous les groupes d’âge. Pour rappel, Rasayana est une préparation à base de plantes qui tonifie, fortifie, aide à renforcer l’immunité et participe au bien-être mental. Tout ça à la fois ! Elle « nourrit » et renforce les réserves de l’organisme [2].
Étant un puissant adaptogène, l'ashwagandha est connu pour améliorer la résistance du corps au stress, notamment grâce aux principes actifs que sont les sitoindosides VII-X et la Withaferin-A. Il possède également de puissantes propriétés antioxydantes, qui aident à protéger contre les dommages causés aux cellules par les radicaux libres [3].
La notion d'adaptogène est présente depuis des milliers d’années en médecine traditionnelle chinoise. Une plante adaptogène favorise les capacités naturelles d’adaptation de l’organisme face aux différents stress ou agressions, donc il l’aide à retrouver son tonus général. C’est le chercheur russe Nicolaï Lazarev qui, en 1947, a défini ce concept d’adaptogène.
Selon la définition la plus récente, il est voulu que l’adaptogène [4, 5] :
_ soit une substance à effet non-spécifique, qui fait augmenter la résistance de l’organisme contre un élément stressant,
_ ait des effets normalisateurs pour prévenir ou s’opposer aux désordres physiologiques qu’engendre un agent stressant,
_ n’ait pas d’effet nocif, mais bien des effets thérapeutiques divers, sans provoquer de désordre dans le fonctionnement normal de l’organisme.
Les plantes adaptogènes ont la capacité de renforcer la stabilité de l'organisme face à des charges physiques comme le stress. Il existe des adaptogènes synthétiques, et des adaptogènes végétaux - ou « naturels » - comme les extraits de Panax ginseng, Eleutherococcus senticosus, Rhodiola rosea et Ashwagandha.
Le mécanisme d'action très complexe des adaptogènes végétaux serait lié à leur composition phytochimique. Des études récentes rapportent que la prise d'adaptogènes végétaux est associée à un effet sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et sur certains médiateurs du stress. Depuis le début du concept « d’adaptogène », l’augmentation du nombre de publications scientifiques montre bien l'effervescence existant autour de ces plantes !
Outre son action anti-stress avérée, étudiée et renseignée, l’ashwagandha agit sur l’ensemble des systèmes du corps humain, en aidant à réguler les processus biologiques. Leurs composés actifs les plus connus sont les withanolides (des lactones stéroïdiens), qui vont agir comme des précurseurs hormonaux, c’est-à-dire qu’ils vont favoriser la synthèse des hormones nécessaires au bon équilibre de l’organisme. Ils peuvent imiter l'effet d'une hormone, lorsqu'une plus grande quantité de cette hormone est nécessaire, ou - à l’inverse - bloquer une hormone hyperactive en occupant son site récepteur cellulaire. Ce qui semble expliquer l’activité de régulation hormonale de l’ashwagandha [6].
Des études soutiennent encore d’autres effets thérapeutiques de l'Ashwagandha dans certains troubles cognitifs et neurologiques, et dans la prévention et le traitement de maladies induites par le stress comme l'artériosclérose, le diabète et l'hypertension. A suivre.
Ashwagandha & Safran Bio, c’est un comprimé composé uniquement de plantes. Il n’y a rien d’autre !
Nous sommes engagés au près d’un organisme certificateur agréé, Ecocert, qui bénéficie de plus de 30 années d'expérience en audit et en certification biologique en France et dans plus de 130 pays. 100% des plantes utilisées dans notre Ashwagandha & Safran sont certifiées Bio.
Chez Fitoform, pas de superflu ! Peut-être que des arômes ou colorants rendraient le comprimé plus « attrayant », mais nous préférons assurément laisser la place aux plantes et aux actifs.
Notre formule est présentée en comprimés. Ashwagandha & Safran Bio sont d’abord mélangés sous forme de poudre, puis déposés dans de petites cavités à la forme des futurs comprimés. Ensuite, une intense force de pression est exercée, pour solidifier ce mélange. Facile à transporter et à avaler, le comprimé est une forme galénique qui respecte et protège particulièrement les actifs qui le composent contre les risques externes de dégradation (comme l’oxygène, par exemple).
Nous privilégions au maximum les circuits courts, l’origine France dès que possible, la qualité Bio systématique pour nos plantes, des producteurs qui apportent des garanties en termes de qualité, d’efficacité (bulletin d’analyses sur les actifs des plantes), et de sécurité (plan de contrôle). Du sérieux, quoi !
Notre Ashwagandha vient d’Inde, pays originaire de cette plante ayurvédique. La récolte des racines se fait manuellement en juillet-août.
100% d’ingrédients naturels, 100% d’ingrédients actifs, 100% d’ingrédients Bio. Quantité totale de plantes par dose journalière recommandée* : 1205 mg
*calculée à partir de la somme des poudres de plantes et des équivalents plantes issus des extraits.
Poudre de racine d’Ashwagandha* (Withania somnifera). Gomme d’Acacia* (Acacia senegal (L.) Willd.). Poudre de stigmate de Safran* (Crocus sativus).
*Ingrédients issus de l’agriculture biologique
Beaucoup de recommandations sont en faveur du bien-être physique, afin d’être en bonne santé et diminuer les risques de maladies : avoir une activité physique, mieux manger, éviter de fumer, limiter sa consommation d’alcool, etc…
Et les émotions dans tout ça ?
Prenons-nous suffisamment en compte notre bien-être émotionnel ?
L'Ayurveda, le système de médecine traditionnelle pratiquée en Inde, remonte à 6000 ans avant JC (Charak Samhita, 1949).
« Le bien-être émotionnel désigne notre capacité à reconnaître et comprendre nos émotions. Ce qui nous aide à bien gérer le stress et les difficultés »
,explique une psychothérapeute. Ainsi, les émotions positives (joie, gratitude, sérénité...) viennent prendre le dessus sur les éventuelles émotions négatives comme la peur, l’anxiété, la colère ou la tristesse. Ce qui ne signifie pas que l’on doive toujours adopter une attitude positive, parce que les épreuves font partie de ma vie. Mais la façon de les gérer est un excellent signe de bien-être émotionnel ! [7]
Les émotions négatives, surtout lorsqu’elles sont répétées et non-maîtrisées, peuvent causer stress, anxiété, voire dépression. Ce stress produit dans notre corps une hormone appelée cortisol, qui, sur le long terme, a un impact négatif sur notre système immunitaire, et nous rend plus fragile. Le stress peut aussi induire des comportements délétères, comme une alimentation déséquilibrée, voire un excès d’alcool et de cigarettes. Ce qui, à long terme, peut provoquer des maladies cardiovasculaires, cancer, diabète de type 2…
À l’inverse, de nombreuses études ont prouvé que les émotions positives ont un très bon impact sur notre santé, en améliorant la mémoire, nous rendant plus créatifs, plus ouverts aux changements, voire plus attentifs.
En 2019, le psychiatre Cédric Lemogne expliquait au Figaro « qu'être heureux, trouver un sens à sa vie, et se sentir utile aux autres est associé à une plus grande longévité, c'est indéniable ». Sur ce point, le psychiatre se veut prudent, soulignant que les émotions positives influenceraient notre santé, mais sans non plus jouer un rôle majeur. Aussi, il ajoute :
"Nos conditions de vie peuvent aussi expliquer en partie ce lien. Et puis, quand on se sent bien, on est plus attentif à sa santé, moins sujet à l'addiction, au tabac et à l'alcool, etc."
[7]
Les causes de stress sont nombreuses : solitude, divorce, problèmes financiers, décès d’un proche, crises sanitaires, conflits, bruit, omniprésence des écrans, exigences de la société (réussite, performance, etc…). L’une de ces causes peut générer un stress, mais nous sommes souvent sujets à une combinaison de plusieurs causes ! S’il s’installe dans la durée, le stress peut alors prendre de l’ampleur, épuiser notre organisme et avoir de vraies conséquences pathologiques.
Le stress est un syndrome général d’adaptation du corps qui réagit à son environnement, notion découverte en 1935 par Hans Selye. Notre organisme répond à un contexte stressant, par une réaction en 3 phases.
Face à une situation jugée stressante, l'organisme se prépare au combat ou à la fuite, il réagit instantanément en libérant des hormones (des catécholamines, produites par la glande médullo-surrénale, dont l’adrénaline). Elles ont pour but de préparer l'organisme à réagir, en augmentant la fréquence cardiaque, la tension artérielle, la vigilance et même la température corporelle !
De nouvelles hormones sont alors sécrétées par la glande corticosurrénale, les glucocorticoïdes. Elles font augmenter le taux de sucre dans le sang, afin d’apporter l'énergie nécessaire aux muscles, au cœur et au cerveau pour répondre à la situation stressante. La sécrétion de ces glucocorticoïdes est autorégulée : des récepteurs du système nerveux central détectent les quantités libérées dans le sang et adaptent leur production selon les besoins.
Si la situation stressante se prolonge voire s’amplifie, l’organisme entre en phase d’épuisement, car les capacités d’autorégulation de l’organisme - citées précédemment - sont débordées.
En complément de ce syndrome général d’adaptation, il est bon de rappeler qu’il existe 2 types de stress, le stress aigu et le stress chronique. Si les symptômes cités ci-dessus apparaissent et disparaissent tout aussi rapidement après une situation stressante, on parle de stress aigu. A l’inverse, il s’agit de stress chronique quand les causes du stress durent ou se répètent, et que l’état de stress devient permanent, finissant même par nuire au bien-être quotidien. Parfois, le stress chronique peut aller jusqu’à provoquer des attaques de panique, également appelées crises d'angoisse, qui se manifestent par des symptômes physiques et psychologiques très intenses et très violents, comme une accélération du rythme cardiaque, une importante transpiration, une sensation de vertige, voire un poids dans la poitrine et même une sensation de mort imminente.
Cependant, même si le stress que nous connaissons le mieux est le stress physique ou psychique, d’autres stress moins apparents existent bel et bien, comme le stress métabolique (diabète de type II, hypertension, stress oxydatif, obésité, etc.) ou le stress endocrinien (grossesse, diabète de type I, ménopause, andropause, troubles thyroïdiens, etc…).
Pour aller encore plus loin dans l’impact du stress sur notre organisme, notons que des études récentes, menées sur des humains et sur des animaux, montrent que les perturbations biologiques liées au stress chronique modifieraient durablement la façon de répondre aux nouvelles situations stressantes (par un processus épigénétique, c’est-à-dire qui modifie, non pas la séquence de l’ADN, mais l’expression des gènes).
Terrible fléau que le stress ! Au vu de tous ces symptômes et impacts sur l’organisme, il semble vraiment intéressant de se tourner vers des plantes connues pour contribuer à la stabilité émotionnelle et à la gestion du stress, comme l’ashwagandha par exemple [8].
Ne négligez pas votre sommeil ! On recommande entre 7 et 8 h de sommeil par nuit. Or, les Français dorment de moins en moins, le temps de sommeil est même passé sous le seuil des 7h ! Il était de 6h42 en semaine en 2017 (selon un baromètre de Santé Publique France publié dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire), tandis qu’une précédente enquête de 2010 concluait sur une moyenne de 7h09…
La comparaison est l’une des premières causes de stress aujourd’hui, notamment à cause des réseaux sociaux. Sur Instagram, on aperçoit les personnes influentes, des mannequins, des sportifs, etc... La comparaison peut avoir un effet positif, car elle va nous inciter à nous dépasser ; mais elle peut aussi nous faire douter, et ne voir que les côtés négatifs.
Pourtant, la seule personne à qui nous devons nous comparer est nous-même ! Et apprendre à se féliciter pour nos propres progrès, nos propres réussites et se montrer reconnaissant de ce que nous avons. Prendre conscience de notre chance permet de relativiser et nous libérer de nos émotions toxiques et négatives au quotidien. Pour vous lancer dans la conduite d’un journal de gratitude, la base de la pratique est de décider d’être heureux. Choisissez un support, que ce soit un exemple trouvé sur internet ou un livre, en le personnalisant à votre manière et vos envies. En lui consacrant seulement 5 minutes par jour, vous serez capable de voir à quel point votre vie est belle !
Élaborée en 1960, à partir des connaissances en neurosciences du professeur Alfonso Caycedo, la sophrologie est une thérapie brève qui repose sur l’écoute bienveillante. La méthode associe respiration contrôlée, détente musculaire et visualisation d’images positives. Technique de relaxation à la fois physique et mentale, la sophrologie permet de prendre conscience de son corps en se libérant de différents points de blocage. La sophrologie est un « entraînement du corps et de l’esprit pour développer sérénité et mieux-être, basé sur des techniques de relaxation et d’activation du corps et de l’esprit ».
Elle s’adresse à toute personne cherchant à améliorer son existence et développer mieux-être et détente. Des séances spécifiques peuvent être proposées aux jeunes enfants et aux adolescents.
La sophrologie n’est pas une médecine, elle ne soigne pas, il s’agit plus d’un outil de développement personnel. Elle est utilisée par de nombreux sportifs ou artistes pour mieux contrôler leur trac ou la « pression », par exemple.
Les propriétés anti-stress de l'Ashwagandha ont été étudiées dans de nombreux travaux de recherche. L’une d’entre elles montrait que des rats adultes, traités à l'Ashwagandha, augmentaient leur endurance (lors de tests de performances de nage), avec une durée moyenne de 385 minutes pour le groupe témoin, contre 740 minutes pour les rongeurs traités ! Soit une performance quasiment doublée !
Les composés bioactifs de l’ashwagandha permettraient de diminuer la production de cortisol. Cette hormone, appelée « hormone du stress » est sécrétée naturellement par l’organisme, mais doit rester à un niveau bas et régulé afin d’éviter l’apparition d’autres troubles dus à un stress chronique [9,10].
Les composés bioactifs de l’ashwagandha permettraient de diminuer la production de cortisol. Cette hormone, appelée « hormone du stress » est sécrétée naturellement par l’organisme, mais doit rester à un niveau bas et régulé afin d’éviter l’apparition d’autres troubles dus à un stress chronique [9,10].
Les propriétés anti-stress de l'Ashwagandha ont été étudiées dans de nombreux travaux de recherche. L’une d’entre elles montrait que des rats adultes, traités à l'Ashwagandha, augmentaient leur endurance (lors de tests de performances de nage), avec une durée moyenne de 385 minutes pour le groupe témoin, contre 740 minutes pour les rongeurs traités ! Soit une performance quasiment doublée !
Selon certains travaux, l’ashwagandha permettrait d’agir sur l’influx nerveux et de réguler la synthèse des neurotransmetteurs (comme la sérotonine et GABA, qui est le principal neurotransmetteur inhibiteur du système nerveux central chez les mammifères et les oiseaux) impliqués dans les processus de l’anxiété. Ainsi, il augmenterait la sensation de calme et de sérénité [1].
Les effets neuroprotecteurs de l’ashwagandha – et notamment de ses composants comme les withanolides et les sitoindosides - ont fait ou font l’objet de nombreuses études. Ces principes actifs sont connus pour favoriser la production d’enzymes antioxydantes au sein du cortex cérébral. Ces enzymes ont deux missions dans notre cortex cérébral. D’abord réduire les effets du stress oxydatif sur notre cerveau, donc de préserver les neurones. Ensuite de prévenir l’apparition de lésions dans le système cérébral, ce qui est une piste de recherche extrêmement importante dans le traitement des maladies neurodégénératives. Pour preuve, des études menées chez des rats montrent que les composés de l’ashwagandha, notamment extraits de poudre de racine, ont une importante activité antioxydante, qui atténuerait, voire protégerait les cellules neuronales contre les effets du stress oxydatif [12].
Rappelons qu’en médecine ayurvédique, ashwagandha est un « Rasayana » bien connu qui agirait sur l'esprit et la capacité mentale/intellectuelle, donc la mémoire. Cet effet d’augmentation de la cognition est même mieux observé chez les enfants présentant des déficits de mémoire, ou lorsque la mémoire est compromise, suite à un traumatisme crânien, ou une maladie prolongée et à un âge avancé.
En cures régulières, l’ashwagandha serait donc capable d’améliorer les capacités cognitives ; il serait donc un candidat potentiel pour traiter diverses pathologies cliniques, notamment liées au système nerveux [13].
Des publications soutiennent l'utilisation de l'ashwagandha comme stabilisateur de l'humeur, face à des conditions cliniques d'anxiété et de dépression. Une étude a administré un extrait d’ashwagandha à des rats par voie orale 1 fois par jour pendant 5 jours, et a comparé les résultats à ceux obtenus via un médicament anxiolytique comme le Lorazépam, et un antidépresseur comme l'Imipramine. Les résultats montrent que l’ashwagandha a des effets anxiolytiques et antidépresseurs comparables à ceux des médicaments témoins ! Un véritable antidépresseur « naturel », quoi ! [1, 14].
L’Ashwagandha contribuerait à retrouver une énergie physique et à améliorer les fonctions musculaires. Une étude, menée en supplémentant en ashwagandha une population de sportifs, a montré une amélioration du fonctionnement métabolique de l’organisme, avec surtout une augmentation de la force musculaire : 46 kg soulevés au développé-couché pour les sujets complémentés, contre 26,4 kg pour les sujets avec placebo. On remarque aussi une augmentation de la taille des muscles (+ 8,6 cm au niveau des bras pour les sujets supplémentés contre 5,3 cm pour les sujets avec placebo). Et encore mieux, la supplémentation en ashwagandha permettrait également une réduction significative des lésions musculaires induites par l'exercice physique, avec augmentation significative du taux de testostérone, et diminution notable du pourcentage de graisse corporelle [15].
La pharmacopée indienne présente souvent l’ashwagandha comme un puissant aphrodisiaque naturel. Ses propriétés adaptogènes en sont certainement l’explication, notamment en réduisant les effets du stress sur l’organisme. Et comme le stress peut être à l’origine de troubles ou de dysfonctionnements sexuels... il n’y a qu’un pas pour extrapoler l'usage de l'ashwagandha comme stimulant sexuel, même s’il existe certes peu d'études cliniques sur le sujet ! Mais toutes semblent converger vers une stimulation de la libido, chez les hommes comme chez les femmes.
L'une d'entre elles, réalisée en Inde par l'université de Jaipur, a suivi 60 hommes de 30 à 60 ans, se plaignant d'une baisse de libido (toute cause organique justifiant cette baisse avait bien sûr été écartée). Ces patients ont été complémentés durant 6 mois avec 300 mg d'ashwagandha. Les résultats affichent une amélioration de la fonction sexuelle pour 1 patient sur 3.
Une autre étude menée en Inde a évalué cette fois l’impact d’une supplémentation en extrait de racine d'ashwagandha hautement concentrée sur la fonction sexuelle de 50 femmes en bonne santé, à raison de 300 mg par jour pendant 8 semaines. Les résultats montrent une amélioration significative du score total, par rapport au placebo, pour les domaines « excitation », « orgasme » et nombre de rapports sexuels réussis à la fin du traitement. Voilà qui montre que l'administration orale d'ashwagandha peut améliorer les troubles sexuels chez les femmes en bonne santé [16, 17]
Les propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes de l'ashwagandha sont connues et reconnues en médecine ayurvédique, qui recommande sa consommation pour prévenir et à lutter contre les maladies articulaires. En boostant l’élimination des radicaux libres dans l’organisme, elle permettrait de diminuer le vieillissement cellulaire. Certaines régions peuvent même la présenter, de façon empirique, comme une plante de « longévité » !
Épice très aromatique et la plus chère au monde, le safran est également recherché pour ses propriétés médicinales. Les travaux de recherche sur le safran tendant à montrer son rôle bénéfique sur les troubles de l’humeur, comme les baisses de moral, voire les dépressions légères à modérées. En effet, certaines molécules spécifiques du safran, des caroténoïdes comme la crocine et le safranal en tête, semblent avoir la capacité de réguler, au niveau du cerveau, les niveaux de sérotonine, l'hormone de la bonne humeur. Des études ont même montré l’intérêt du safran dans les maladies neuro dégénératives, comme Alzheimer.
L’intérêt antioxydant naturel du safran est également documenté, montrant que ses caroténoïdes (notamment la crocine) protègent les cellules et les tissus des radicaux libres donc du fameux stress oxydatif risquant d’accélérer les processus de vieillissement de nos cellules.
On parle aussi du safran pour sa propension à modérer l’appétit et stimuler la sphère gastro-intestinale [19, 20, 21, 22]
2 comprimés par jour (1 le matin et 1 le soir) à avaler avec un verre d’eau au cours du repas.
A prendre à chaque changement de saison, ou dans des moments particulièrement éprouvant.
Toutes les personnes ayant du mal à gérer leurs émotions, les personnes stressées.
Il est d’usage de prendre l’Ashwagandha Safran sur 21 jours, renouvelable deux fois.
Veillez à ne pas excéder 3 mois de suite.
Sachet Ecopack recyclable et compostable de 42 comprimés.
Poids net : 26,5 g.
Les compléments alimentaires doivent être utilisés dans le cadre d’un mode de vie sain et ne pas être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré.
Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Déconseillé chez les femmes enceintes et aux personnes sous antidépresseurs
L’Ashwagandha est un membre de la famille des solanacées et devrait être évité par ceux qui ont une sensibilité à cette famille.
Utilisation avec prudence si vous souffrez d'hyperthyroïdie, car l'ashwagandha peut augmenter les taux d'hormones thyroïdiennes.
Contient une capsule dessicante : Ne pas avaler
À conserver au frais, au sec et à l’abri de la lumière.
Tenir hors de portée des jeunes enfants.
[1] Gupta, Girdhari, et al. « Withania somnifera (Ashwagandha): A Review ». Pharmacognosy Reviews, vol. 1, no 1, 2007, p. 129 36.
[2] Haussin, René. Le guide pratique des compléments alimentaires et des remèdes naturels. Sully éd, 1999.
[3] Singh, N., et al. « An Overview on Ashwagandha: A Rasayana (Rejuvenator) of Ayurveda ». African Journal of Traditional, Complementary and Alternative Medicines, vol. 8, no 5S, juillet 2011
[4] McCarthy M.W. Alternative therapy: focus on herbal products. Pediatric pharmacotherapy 1998 ; Vol 4. ( Number 5)
[5] Allen LV, Berardi RR, DeSimone EM, et al. Handbook of Non- prescription Drugs. 12e éd. Washington : American Pharmacologi- cal Association, 2000 : 975.
[6] Mishra, L. C., et al. « Scientific Basis for the Therapeutic Use of Withania Somnifera (Ashwagandha): A Review ». Alternative Medicine Review: A Journal of Clinical Therapeutic, vol. 5, no 4, août 2000, p. 334 46.
[7] Tcherkassof, Anna, et Nico H. Frijda. « Les émotions : une conception relationnelle »: L’Année psychologique, vol. Vol. 114, no 3, septembre 2014, p. 501 35.
[8] INRS, Santé et Sécurité au travail [En ligne], 2017. Disponible sur https://www.inrs.fr/inrs/faits-chiffres/presentation.html (consulté le 21 juillet 2022).
[9] Langade, Deepak, et al. « Efficacy and Safety of Ashwagandha (Withania Somnifera) Root Extract in Insomnia and Anxiety: A Double-Blind, Randomized, Placebo-Controlled Study ». Cureus, vol. 11, no 9, septembre 2019
[10] Chandrasekhar, K., et al. « A Prospective, Randomized Double-Blind, Placebo-Controlled Study of Safety and Efficacy of a High-Concentration Full-Spectrum Extract of Ashwagandha Root in Reducing Stress and Anxiety in Adults ». Indian Journal of Psychological Medicine, vol. 34, no 3, juillet 2012, p. 255 62.
[12] Bhattacharya, Salil K., et al. « Effects of Glycowithanolides FromWithania Somnifera on an Animal Model of Alzheimer’s Disease and Perturbed Central Cholinergic Markers of Cognition in Rats ». Phytotherapy Research, vol. 9, no 2, mars 1995, p. 110 13
[13] Dar, Nawab John, et al. « Pharmacologic Overview of Withania Somnifera, the Indian Ginseng ». Cellular and Molecular Life Sciences, vol. 72, no 23, décembre 2015, p. 4445 60
[14] Bhattacharya, S. K., et al. « Anxiolytic-Antidepressant Activity of Withania Somnifera Glycowithanolides: An Experimental Study ». Phytomedicine, vol. 7, no 6, décembre 2000, p. 463 69
[15] Wankhede, Sachin, et al. « Examining the Effect of Withania Somnifera Supplementation on Muscle Strength and Recovery: A Randomized Controlled Trial ». Journal of the International Society of Sports Nutrition, vol. 12, no 1, octobre 2015, p. 43
[16] Bhattacharya, S. K., et A. V. Muruganandam. « Adaptogenic Activity of Withania Somnifera: An Experimental Study Using a Rat Model of Chronic Stress ». Pharmacology Biochemistry and Behavior, vol. 75, no 3, juin 2003, p. 547 55.
[17] I. Ilayperuma, I., et al. « Effect of Withania Somnifera Root Extract on the Sexual Behaviour of Male Rats ». Asian Journal of Andrology, vol. 4, no 4, décembre 2002, p. 295 98.
[18] Mishra, L. C., et al. « Scientific Basis for the Therapeutic Use of Withania Somnifera (Ashwagandha): A Review ». Alternative Medicine Review: A Journal of Clinical Therapeutic, vol. 5, no 4, août 2000, p. 334 46.
[19] Hausenblas, Heather Ann, et al. « Saffron (Crocus Sativus L.) and Major Depressive Disorder: A Meta-Analysis of Randomized Clinical Trials ». Journal of Integrative Medicine, vol. 11, no 6, novembre 2013, p. 377 83.
[20] Milajerdi, Alireza, et al. « The Effects of Alcoholic Extract of Saffron (Crocus Satious L.) on Mild to Moderate Comorbid Depression-Anxiety, Sleep Quality, and Life Satisfaction in Type 2 Diabetes Mellitus: A Double-Blind, Randomized and Placebo-Controlled Clinical Trial ». Complementary Therapies in Medicine, vol. 41, décembre 2018, p. 196 202.
[21] Akhondzadeh, Shahin, et al. « Crocus Sativus L. in the Treatment of Mild to Moderate Depression: A Double-Blind, Randomized and Placebo-Controlled Trial ». Phytotherapy Research, vol. 19, no 2, février 2005, p. 148 51.
[22] Lopresti, Adrian L., et Peter D. Drummond. « Saffron (Crocus Sativus ) for Depression: A Systematic Review of Clinical Studies and Examination of Underlying Antidepressant Mechanisms of Action: SAFFRON ( Crocus Sativus ) FOR DEPRESSION ». Human Psychopharmacology: Clinical and Experimental, vol. 29, no 6, novembre 2014, p. 517 27.
[23] Lopresti, Adrian L., et al. « Efficacy of a Standardised Saffron Extract (Affron®) as an Add-on to Antidepressant Medication for the Treatment of Persistent Depressive Symptoms in Adults: A Randomised, Double-Blind, Placebo-Controlled Study ». Journal of Psychopharmacology, vol. 33, no 11, novembre 2019, p. 1415 27.
Ashwagandha peut se traduire par « odeur de cheval », ce qu’on peut plus aisément interpréter par « force et vigueur du cheval ».
Malheureusement non, cela est déconseillé.
Il n’existe pas de liste officielle de plantes adaptogène. On en recense néanmoins une vingtaine, sur laquelle l’ensemble des spécialistes s’accordent à affirmer que ces plantes peuvent bien être définie comme « adaptogène ». On peut citer : le ginseng asiatique, la rhodiola, l’éleuthérocoque, la maca, le basilic sacré, …
Vérifier les sources avant de considérer une plante comme « adaptogène » ; certaines plantes sont considérées à tort comme étant adaptogène.
L'Ashwagandha de Fitoform m'a vraiment surpris. Je me sens moins tendu, et j'appréhende mieux les situations stressantes.
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Je recommande vivement l'Ashwagandha de Fitoform à tous ceux qui cherchent à améliorer leur bien-être émotionnel. C'est comme si un poids avait été enlevé de mes épaules
J'ai essayé différentes méthodes pour gérer mon stress, mais rien n'a fonctionné mis à part ce produit.Je me sens plus détendue et plus positive au fil des jours
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La qualité des produits est une valeur primordiale pour Fitoform Compagnie. Ainsi, avant de les commercialiser, l'entreprise procède à de multiples contrôles afin d'assurer leur qualité, leur sécurité et leur efficacité.
Depuis 1992, nous sommes engagés dans la certification Agriculture Biologique avec Ecocert. Plus de 90% de nos références sont certifiées BIO. Soucieux de préserver notre environnement, nous privilégions l'utilisation de cartons et papiers certifiés PEFC et Imprim 'Vert, ainsi qu'une organisation responsable de nos ressources.
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Notre entreprise est reconnue pour sa qualité et l'extrême soin accordé à l'élaboration de nos produits. Nous vous offrons des réponses naturelles pour un nouveau bien-être physiologique et émotionnel : digestion, élimination, articulation, ménopause, immunité, activité cérébrale, fatigue, stress, minceur, beauté...
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