BOLDO BIO* - écopack 21 comprimés
Pour favoriser le bon fonctionnement du foie et la digestion.
Formule inédite, et pourtant tellement légitime, le Kudzu & Millepertuis est spécifiquement pensé pour lutter contre les addictions.
SOUTIEN A LA DASACCOUTUMANCE
Le Kudzu, Pueraria Montana var Lobota, est une plante grimpante de la famille des Fabacées, originaire d’Extrême-Orient, qui peut recouvrir les murs de maisons, voire des troncs d’arbres entiers. Poussant dans des endroits chauds au climat semi-tropical, on retrouve le kudzu dans plusieurs régions du continent asiatique, mais aussi en Europe et aux États-Unis.
Racines et fleurs de kudzu sont valorisées en médecine traditionnelle chinoise depuis plus de 2500 ans, pour lutter contre certaines pathologies comme migraine, hypertension et douleurs, mais aussi pour contrer la « gueule de bois ». C’est une autre application qui nous intéresse ici. Plusieurs études récentes ont mis en avant que l’extrait de kudzu pouvait constituer une aide naturelle dans la diminution de la consommation d’alcool, et soutenir ainsi un sevrage alcoolique ou tabagique.
Au niveau de sa racine, le kudzu contient des isoflavones (parmi lesquelles la puérarine et la daidzine), dont le rôle est de protéger la plante contre les attaques de bactéries, champignons… Leur puissante activité protectrice est doublée d’une action antioxydante [1].
Le Kudzu, Pueraria Montana var Lobota, est une plante grimpante de la famille des Fabacées, originaire d’Extrême-Orient, qui peut recouvrir les murs de maisons, voire des troncs d’arbres entiers. Poussant dans des endroits chauds au climat semi-tropical, on retrouve le kudzu dans plusieurs régions du continent asiatique, mais aussi en Europe et aux États-Unis.
Racines et fleurs de kudzu sont valorisées en médecine traditionnelle chinoise depuis plus de 2500 ans, pour lutter contre certaines pathologies comme migraine, hypertension et douleurs, mais aussi pour contrer la « gueule de bois ». C’est une autre application qui nous intéresse ici. Plusieurs études récentes ont mis en avant que l’extrait de kudzu pouvait constituer une aide naturelle dans la diminution de la consommation d’alcool, et soutenir ainsi un sevrage alcoolique ou tabagique.
Au niveau de sa racine, le kudzu contient des isoflavones (parmi lesquelles la puérarine et la daidzine), dont le rôle est de protéger la plante contre les attaques de bactéries, champignons… Leur puissante activité protectrice est doublée d’une action antioxydante [1].
Les isoflavones du kudzu agissent dans l’organisme en augmentant le flux sanguin, notamment en accélérant l’action sur le système de récompense (dopamine), ce qui explique son action facilitant la désaccoutumance à l’alcool [2].
La daidzine
La daidzine est le principe actif majeur d'un ancien traitement chinois à base de plantes visant à lutter contre la dépendance à l'alcool. Elle a été utilisée dans une étude sur des hamsters dorés syriens préférant l'alcool, avec des résultats très positifs, puisque l’on observe une suppression édifiante de la consommation d'alcool chez tous les animaux testés à ce jour ! Mais le mécanisme d’action n'est pas entièrement maîtrisé à ce jour.
La puérarine
La puérarine est l'isoflavonoïde le plus concentré et le plus stable dans le kudzu, comparée à la daidzine qui reste la plus puissante.
Dans les travaux de recherche, la puérarine réduirait la consommation d'alcool de manière sélective, sans affecter l'activité générale ou le comportement d'interaction sociale. En complément, une étude sur des rats et des singes préférant l'alcool montre qu’elle agirait positivement comme un agent anti-craving. Un petit rappel sur le craving : c’est une pulsion, une envie irrépressible, un besoin compulsif. Dans le cas d’un craving alcoolique, on parle d’une vraie dépendance qui pousse - de façon insistante - à consommer de l’alcool [3].
Pour résumer, la puérarine aiderait à diminuer la consommation d’alcool, tandis que la daidzine aiderait à bloquer sa dégradation. Mais les mécanismes d’action sont encore peu maîtrisés.
Plus globalement, on peut avancer que le kudzu agirait en accélérant la libération de dopamine, ce qui donne plus rapidement une sensation de satisfaction ou d’avoir assez bu, et permettrait de réduire la quantité d’alcool consommée.
Le millepertuis, de son nom scientifique Hypericum Perforatum L., est une plante herbacée vivace qui fait partie de la famille des hypericacées. Elle pousse dans des endroits secs et ensoleillés, comme les murs ou les terrains incultes. On la retrouve dans toute l’Europe, en Amérique du Nord, Afrique du Nord, Asie et France, où elle est très connue.
Les principes actifs du millepertuis sont :
Des tanins qui représentent 6 à 15% de la plante fraîche, se concentrent surtout dans les parties aériennes de la plante (fleurs et boutons floraux), et possèdent une action anti-inflammatoire et cicatrisante. Leur teneur augmente jusqu’à la floraison. Les flavonoïdes sont abondants dans les parties aériennes et représentent jusqu’à 4% de la masse sèche. De plus, ce sont des pigments responsables de la coloration des fleurs et des fruits.
Ce sont des pigments rouges, notamment l’hypéricine (0.1% de la masse fraîche) et la pseudohypéricine (0.3% de concentration, soit trois fois plus que l’hypéricine). Ils sont responsables de la coloration des petits points noirs présents sur le bord des feuilles [4].
On retrouve différents acides (caféique, chlorogénique, férulique, gentisique) qui sont retrouvés à une concentration de 0,1% dans les feuilles et fleurs de la plante fraîche.
On peut extraire de 0,5 à 1 ml d’huile essentielle par kilogramme de plante. L’huile essentielle est localisée principalement dans le fruit, mais on en retrouve aussi dans les feuilles et en plus petite quantité dans les fleurs, les tiges et les racines. La teneur en huile essentielle dans les parties aériennes est plus importante en début et également en fin de floraison.
Il est à noter que les principaux composés actifs de la plante sont l’hyperforine, l’adhyperforine et les naphtodianthrones (responsables de la photo toxicité de la plante) [5].
Dans le millepertuis, les principes actifs comme l’hypéricine et surtout l’hyperforine, ainsi que les flavonoïdes, agiraient sur les neurotransmetteurs du cerveau que sont la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine. Ce qui expliquerait l’utilisation du millepertuis pour soulager le stress, les troubles de l’humeur et un épisode de dépression légère. Cependant, son mécanisme d’action reste peu maîtrisé.
On parle aussi du millepertuis pour son côté antiseptique, indiqué pour lutter contre les petits problèmes de peau.
Une étude très intéressante porte sur les effets combinés des extraits de plusieurs plantes, parmi lesquelles le millepertuis (Hypericum perforatum, HPE), le kudzu (Pueraria lobata) et l'ibogaïne (Tabernanthe iboga) sur la consommation d'alcool, chez des rats préférant l'alcool. En France, l'ibogaïne est une substance interdite, car appartenant à la liste des substances classées comme stupéfiants.
Aussi nous avons combiné, dans une formule inédite, les deux autres plantes de cette étude, à savoir kudzu et millepertuis, pour leurs effets limitant la consommation excessive d'alcool [6]!
Kudzu & Millepertuis Bio, c’est un comprimé composé uniquement de plantes. Il n’y a rien d’autre !
Nous sommes engagés au près d’un organisme certificateur agréé, Ecocert, qui bénéficie de plus de 30 années d'expérience en audit et en certification biologique en France et dans plus de 130 pays. 100% des plantes utilisées dans notre Kudzu & Millepertuis sont certifiées Bio.
Chez Fitoform, pas de superflu ! Peut-être que des arômes ou colorants rendraient le comprimé plus « attrayant », mais nous préférons assurément laisser la place aux plantes et aux actifs.
Notre formule est présentée en comprimés. Kudzu & Millepertuis Bio sont d’abord mélangés sous forme de poudre, puis déposés dans de petites cavités à la forme des futurs comprimés. Ensuite, une intense force de pression est exercée, pour solidifier ce mélange. Facile à transporter et à avaler, le comprimé est une forme galénique qui respecte et protège particulièrement les actifs qui le composent contre les risques externes de dégradation (comme l’oxygène, par exemple).
Nous privilégions au maximum les circuits courts, l’origine France dès que possible, la qualité Bio systématique pour nos plantes, des producteurs qui apportent des garanties en termes de qualité, d’efficacité (bulletin d’analyses sur les actifs des plantes), et de sécurité (plan de contrôle). Du sérieux, quoi !
Notre Kudzu est Bio, non-OGM et non-ionisé, il provient de Chine et est récolté de manière manuelle en novembre, à maturité. Quant à notre Millepertuis, il Bio, non-OGM et non-ionisé, il vient de France et est récolté mécaniquement, en juin-juillet, au moment de la floraison.
100% d’ingrédients naturels, 100% d’ingrédients actifs, 100% d’ingrédients Bio. Quantité totale de plantes par dose journalière recommandée* : 630 mg
*calculée à partir de la somme des poudres de plantes et des équivalents plantes issus des extraits.
Gomme d’acacia* (Acacia senegal (L.) Willd.). Poudre de racine de kudzu* (Pueraria montana var lobata). Poudre de parties aériennes de millepertuis* (Hypericum perforatum).
*Ingrédients issus de l'agriculture biologique.
L’alcool présent dans certaines boissons est une substance obtenue par la fermentation de fruits, grains ou tubercules. La quantité d’alcool pur contenue dans une boisson alcoolisée est variable. Après consommation de celle-ci, l’alcool passe rapidement dans le sang, son taux est maximal au bout de 45 minutes si l’alcool est bu seul, et au bout de 90 minutes s’il est pris au cours d’un repas. Il est transporté par le sang en quelques minutes dans tout l’organisme, et notamment le cerveau. L’alcool est ensuite éliminé peu à peu, par le foie en premier lieu à hauteur de 95%, puis à 5% par les reins (urine), la peau (sueur), la salive et les poumons (expiration). La vitesse d'élimination est variable d’une personne à l’autre, mais aussi d’un genre à l’autre : son élimination est plus rapide chez l’homme que chez la femme.
Aujourd’hui, l’alcool est l’une des premières causes de morbidité et de mortalité dans le monde. Il n’y a pas de consommation d’alcool sans risques, mais des consommations à risques plus ou moins élevés, car c’est une substance psychoactive engendrant un important risque de dépendance. L’impact de la consommation d’alcool sur les problèmes de santé est en grande partie déterminé par la quantité totale d’alcool consommée et le mode de consommation, surtout en cas d’épisodes aigus.
L’addiction à l’alcool est plus souvent masculine : elle concerne, en France, 14% des hommes, contre 5% de la population féminine.
La consommation abusive peut entraîner une dépendance à l’alcool ou “alcoolo-dépendance” : c’est une addiction à l’alcool qui se traduit par le besoin, l’envie compulsive ou encore la nécessité, pour une personne, de boire de l’alcool au quotidien. On le reconnaît lorsque le désir de boire de l’alcool devient difficile à maîtriser et doit être assouvi au détriment de toute autre considération.
En France, on estime qu’environ 1,5 million de personnes sont alcoolo-dépendantes et que 2,5 millions ont une consommation à risque. Cette consommation excessive d’alcool serait responsable, selon les sources, de 33 à 49000 décès par an en France. C’est énorme [7, 8] !
Aujourd’hui, il existe plusieurs chemins pour combattre la dépendance. En premier lieu le sevrage, qui a pour objectif d’éliminer l’alcool du corps en arrêtant totalement sa consommation.
On retrouve deux types de sevrage : physique et psychologique. Pour le sevrage physique, une abstinence totale est exigée, le plus souvent sous surveillance et encadrée par un traitement médicamenteux. En première intention, les benzodiazépines permettent de limiter les symptômes dus au sevrage. Ils sont souvent associés à une supplémentation en vitamines, qui viennent compenser les carences des personnes alcoolo-dépendantes.
Dans le sevrage psychologique, l’objectif est de traiter l’origine et les souffrances qui ont pu conduire à la dépendance alcoolique. Une psychothérapie va permettre de poser un diagnostic et de choisir la démarche thérapeutique adaptée [9].
Depuis peu, la communauté scientifique recommande l’hypno thérapie pour accéder à l’inconscient. Le but est de permettre au patient d’expérimenter une détente profonde, d’explorer en toute sécurité ses capacités, et de favoriser la confiance en soi. L’hypnose permet de trouver les stratégies et attitudes à adopter face aux envies irrépressibles de boire, aux situations angoissantes et aux sentiments d’échec. Ainsi, cette zone de sécurité aide à supprimer les sensations liées au manque, en lui substituant un sentiment d’apaisement naturel.
L’acupuncture peut aussi être une aide précieuse pour se débarrasser d’une addiction, notamment à l’alcool. Une séance d’acupuncture vise à stimuler des points spécifiques des réseaux neuronaux présents sur la peau, dans le but d’intervenir sur les effets neuro-endocriniens, les viscères, mais aussi les différents circuits liés à la douleur.
Dans le cas de l’alcoolo-dépendance, l’idée est de modifier le schéma de distribution des circuits « désir & plaisir » dans le système nerveux central ; ainsi, le goût agréable devient désagréable et l’alcool absorbé déclenche des migraines et des nausées, donc un dégoût [10]
L’alcool, la drogue, le tabac et même l’alimentation… Les techniques d’ostéopathie, si elles ne libèrent pas de la dépendance, peuvent venir en soutien d’un traitement déjà mis en place. La dépendance prend sa source au niveau du cerveau et s’accompagne de libération de certains neuromédiateurs, comme la dopamine. C’est à ce niveau que l’ostéopathe peut travailler par une approche crânienne, pour travailler au niveau du système nerveux et permettre une meilleure gestion des émotions.
L’ostéopathie a donc sa place dans le traitement du sevrage alcoolique [11].
En 1796, un médecin allemand, le Dr Samuel Hahnemann, a créé une nouvelle forme de médecine, l’homéopathie. Elle repose sur l'idée qu'une substance qui provoque un symptôme peut être utilisée - à des doses infinitésimales - pour traiter ledit symptôme.
L’homéopathie ayant prouvé son efficacité pour traiter différentes addictions, elle a donc toute sa place dans la gestion de l’addiction à l’alcool [12].
L'alcoolisme est un problème médical, social et économique. Son traitement consiste principalement en une psychothérapie sérieuse et de longue durée et, dans certains cas, par des approches pharmacologiques (parfois controversées).
Un certain nombre de plantes médicinales et de composés naturels purs auraient des effets préventifs et thérapeutiques sur l'alcoolisme et la dépendance à l'alcool, mais leurs constituants, leur efficacité et leurs mécanismes d'action sont pour la plupart mal connus ou mal renseignés à ce jour. On parle du kudzu [Pueraria lobata (Willd.) Ohwi] et du millepertuis (Hypericum perforatum L.), mais aussi de la sauge rouge (Salvia miltiorrhiza Bge.), du ginseng (Panax ginseng C.A. Mey.), du raisinier de Chine (Hovenia dulcis Thunb.), de l’iboga (Tabernanthe iboga H. Bn.), de l’onagre bisannuelle (Oenothera biennis L.), du figuier de barbarie ou nopal (Opuntia ficus indica (L.) Mill.), de la passiflore officinale (Passiflora incarnata L.), du thym (Thymus vulgaris L.), du fenugrec (Trigonella foenum-graecum L.) et du gingembre (Zingiber officinale Roscoe) [6, 13].
Parce que nous sommes le fruit des actions que nous répétons régulièrement, avoir une routine quotidienne peut apporter un sentiment de sécurité et de confiance en soi. Une routine sert à structurer sa journée, à ne pas se perdre lorsque l’on se sent submergé, stressé, fatigué... Sans routine, c’est un peu comme si l’on partait en vacances sans GPS, on peut y arriver, mais cela risque d’être plus ou moins long.
De nos jours, il existe beaucoup d’articles concernant la fameuse “routine idéale”, mais c’est à vous de trouver votre propre routine ! Vous pouvez vous inspirer de plusieurs routines, et garder ce qui vous correspond le mieux. Bien sûr, ne vous levez pas à 5h tous les matins pour faire une activité sportive si vous n'en avez pas l’envie !
La comparaison est une importante cause de stress aujourd’hui, notamment à cause des réseaux sociaux. Sur Instagram, on aperçoit des personnes influentes, des mannequins, des sportifs, etc… La comparaison peut avoir un effet positif, en nous incitant à nous dépasser ; mais elle peut a contrario nous faire douter si l’on se compare à ces « images » parfaites.
Pourtant, la seule personne à qui nous devons nous comparer est nous-même. Seuls comptent nos propres progrès, nos propres réussites, et de savoir se montrer reconnaissant de ce que nous avons. Prendre conscience de notre chance permet de relativiser et de se libérer des émotions toxiques et négatives au quotidien.
Pour se lancer dans la conduite d’un journal de gratitude, l’idée est… de décider d’être heureux ! Choisissez un support, que ce soit un exemple trouvé sur internet ou un cahier, en le personnalisant à votre manière et vos envies. Puis énumérez tout ce pourquoi vous êtes reconnaissant. En lui consacrant seulement 5 minutes par jour, vous serez capable de voir à quel point votre vie est belle !
Penser que le yoga ne se résume qu’à la pratique physique est tellement réducteur ! Le yoga est un mode de vie, une philosophie de vie, qui vise à prendre soin de soi à plein d’égards :
_La respiration, tellement vitale, puisqu’elle apporte l’oxygène dans nos organes,
_La méditation pour prendre soin de son esprit, comme une vraie gym de l’esprit,
_La pratique des postures, afin d’assouplir et préserver notre corps,
_La connexion entre corps et esprit, souvent dissociés alors qu’étroitement liés !
Le yoga est un excellent moyen de vivre en harmonie avec soi-même, mais aussi avec son environnement.
Quel serait le mécanisme de lutte contre les addictions ? Il semble que ce soit la haute concentration du kudzu en isoflavones qui en soit responsable, par le biais des puérarine, daidzine et daidzéine, qui supprimeraient la consommation d'alcool chez les hamsters dorés syriens.
[1][2][6]
Des études initiales ont démontré que la phytothérapie chinoise pouvait supprimer de façon significative la consommation d'alcool (40%) dans une étude de 24 h, en utilisant 2 souches différentes de rats préférant l'alcool. Le résultat est une réduction dose-dépendante de la consommation d'alcool. En augmentant la concentration du traitement, il a réduit la consommation d'alcool de 50% et de 100%, respectivement.
Une autre étude, menée chez l’homme cette fois-ci, sur de gros buveurs, a démontré que le kudzu permettait de diminuer la quantité d’alcool absorbée. Ces résultats ont récemment été confirmés par d’autres travaux de recherche. L’extrait de kudzu pourrait donc constituer une aide naturelle dans la diminution de la consommation d’alcool et dans la prise en charge de l’alcoolisme chronique
Depuis quelques années, cet intérêt s’est étendu à l’ensemble des addictions, et notamment à la prise en charge de la dépendance au tabac, qui constitue également un problème de santé publique majeur [14]!
Le kudzu semble intervenir pour lutter contre certaines addictions, en réduisant notamment la consommation d'alcool.
Le kudzu présenterait des propriétés anti-inflammatoires, grâce à ses flavonoïdes. C’est en ce sens que vont les deux études suivantes.
La première menée chez la souris in vivo et in vitro, par la faculté de médecine de la Chonbuk National University à Jeonju en Corée, a démontré que la prise de kudzu diminue les lésions et l’inflammation cutanée dues à l’eczéma, notamment par le biais d’un de ces principes actifs, la puérarine, par la régulation des médiateurs inflammatoires et allergiques. Le kudzu pourrait donc être un candidat efficace pour le traitement de l'eczéma.
La deuxième, menée par le Korea Institute of Oriental Medicine de Daejeon, a démontré in vitro l’activité positive de certains composants du kudzu sur diverses maladies inflammatoires et maladies liées au stress oxydatif.
Dans les deux cas, l’intérêt des flavonoïdes et leurs propriétés anti-inflammatoires méritent d’être souligné [15, 16] !
Il a été démontré que la racine de kudzu et certains de ses composants améliorent la fonction cardiaque chez l’animal. Face à ce constat, des études ont été réalisées chez l’homme, chez des patients souffrant d’angine de poitrine et d’insuffisance coronarienne. Les résultats confirment l’intérêt de l’utilisation de la racine de kudzu dans le traitement de certaines pathologies cardiaques.
La puérarine, l’un des principes actifs du kudzu, a été testée chez des patients souffrant d’infarctus aigu du myocarde, et les résultats obtenus ont montré une efficacité similaire à celle observée chez l’animal.
En plus de diminuer les risques de maladies cardiovasculaires, le kudzu protègerait les artères. En effet, des études, réalisées chez des animaux et chez l’humain, montrent que l’administration d’extrait de racines engendre une diminution rapide de la pression artérielle à différentes doses.
Chez l’être humain, l’intérêt des isoflavonoïdes totaux a été mis en évidence dans le traitement des symptômes liés à l’hypertension artérielle, comme les maux de tête, les vertiges ou encore les acouphènes. Ces effets ont été attribués à leur capacité à améliorer la circulation sanguine cérébrale.
Enfin, une autre étude a démontré chez les rats qu’une cure d’extrait de racine de Kudzu fait diminuer le taux de mauvais cholestérol, protégeant ainsi la fonction cardiovasculaire.
Bref, toutes les études vont dans le sens d’une amélioration, voire une protection de la fonction cardiaque grâce au kudzu [17] !
La dépression (ou trouble dépressif) est une maladie psychique fréquente, liée à des troubles de l’humeur, qui perturbe fortement la vie quotidienne. De nombreux facteurs psychologiques, biologiques et environnementaux sont en cause. On retrouve plusieurs formes de dépression, avec des degrés de gravité plus ou moins importants.
Les études sur les extraits de millepertuis sont fournies et concluantes. De nombreux essais ont comparé le millepertuis aux antidépresseurs de référence, chez des patients présentant une dépression légère à modérée. Ces études confirment que l’extrait de millepertuis est plus efficace qu’un placebo, et autant que certains antidépresseurs de synthèse. Le millepertuis est bien voire mieux toléré, puisqu’il présente beaucoup moins d'effets secondaires. Son innocuité à long terme est également saluée et permettrait de prévenir les rechutes [4,18].
Le millepertuis est une plante médicinale sacrée, connue sous plusieurs noms : Hypericum perforatum, herbe aux mille trous, herbe aux piqûres, herbe de la Saint Jean en France ; St. John’s Wort en anglais, et Klamath chez les Américains !
Le millepertuis est reconnu pour soutenir les personnes qui luttent contre une addiction, notamment l’addiction à l’alcool et la cigarette. Son efficacité sur la quantité d’alcool consommée a également été soulignée, dans une étude réalisée sur la consommation volontaire de rats préférant l’alcool. Les résultats montrent que l'extrait de millepertuis (prétraitement de 3 jours) pouvait atténuer la consommation d'alcool, allant d'une réduction de 30 à 72%.
L'utilisation de millepertuis dans le traitement clinique de l'alcoolisme n'est pas nouvelle. En 1993 déjà, Krylov et Ibatov ont confirmé que le millepertuis est bénéfique pour les patients alcooliques. Quant au mécanisme d'action, la plupart des études ont établi un lien entre le millepertuis et plusieurs systèmes neurochimiques du cerveau.
Récemment, en 2021, une étude concernant l’addiction au tabac est sortie. Étude prometteuse, certes, mais on manque encore de recul pour affirmer que le millepertuis a des effets sur ce type d’addiction [19].
2 comprimés par jour (1 le matin et 1 le soir), avec le repas.
A avaler avec un grand verre d’eau.
Les adultes ayant des comportements addictifs.
Cure de 21 jours.
Renouvelable selon les besoins.
Sachet écopack recyclable et compostable de 42 comprimés.
Poids net : 26,5 g
Les compléments alimentaires doivent être utilisés dans le cadre d’un mode de vie sain et ne pas être utilisés comme substituts d’un régime alimentaire varié et équilibré.
Ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
Déconseillé chez les femmes enceintes et allaitantes.
Les personnes suivant un traitement médicamenteux doivent préalablement consulter un professionnel de santé.
Déconseillé aux personnes sous anti-dépresseurs et en cas d'usage concomitant de médicaments.
Déconseillé aux enfants et adolescents de moins de 18 ans.
L’exposition au traitement aux UV doit être éviter.
Ne pas utiliser en cas de prise de contraceptifs oraux.
Déconseillé chez les femmes ayant des antécédents personnels ou familiaux de cancer du sein.
A conserver au frais, au sec et à l’abri de la lumière.
Tenir hors de la portée des enfants.
Contient une capsule dessicante : Ne pas avaler.
[1] Lukas, Scott E., et al. An Extract of the Chinese Herbal Root Kudzu Reduces Alcohol Drinking by Heavy Drinkers in a Naturalistic Setting. Alcoholism : Clinical & Experimental Research , vol. 29, n ° 5, mai 2005, p. 756 62.
[2] Penetar, David M., et al. « The isoflavone puerarin reduces alcohol intake in heavy drinkers: a pilot study». Dépendance aux drogues et à l'alcool , vol. 126, n ° 1 2, novembre 2012, p. 251 256.
[3] Gilpin, Nicholas W., et al. Operant Behavior and Alcohol Levels in Blood and Braain of Alcohol-Dependent Rats . Alcoolisme : recherche clinique et expérimentale , vol. 33, n ° 12, décembre 2009, p. 2113 23.
[4] Alexandre Boulin. Le millepertuis : état des lieux et enquête sur sa délivrance officinale en région Haute-Normandie. Sciences pharmaceutiques. 2014. ffdumas-01095910f
[5] Hypericum perforatum-Monograph. Alternative Medicine Review. 2004, vol.9, number 3 p. 318-325.
[6] Rezvani, Amir H., et al. Plant derivatives in the treatment of alcohol dependency. Pharmacologie, biochimie et comportement , vol. 75, n ° 3, juin 2003, p. 593 606
[7] Organisation Mondiale de la Santé. Alcool [en ligne]. 9 mai 2022. Disponible sur : https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/alcohol (consulté en ligne le 3 octobre 2022)
[8] AMELIE. L’alcool : définition et repères de consommation [en ligne]. 5 mai 2022. Disponible sur : https://www.ameli.fr/maine-et-loire/assure/sante/themes/alcool-sante/definition-reperes-consommation (consulté en ligne le 3 octobre 2022)
[9] Institut Adios. Soigner son addiction à l’alcool [en ligne]. Disponible sur : https://institutadios.com/alcoolisme/addiction-alcool/ (consulté en ligne le 28 septembre 2022)
[10] Terral, Claudie. Acupuncture et Addictologie : Tabac/Alcool. Hegel , vol. N° 2, n° 2 , avril 2016, p. 237 239
[11] Reflexosteo. Sevrage alcoolique : traitements naturels et conseils afin d’arrêter l’alcool [en ligne], 26 février 2021. Disponible sur : https://www.reflexosteo.com/blog-sante-bien-etre/traitements-naturels-conseils-sevrage-alcoolique-446 (consulté en ligne le 7 septembre 2022).
[12] Ruth Wawa Ngabwa. Les flavonoïdes du kudzu et leur rôle dans le sevrage alcoolique. Sciences pharmaceutiques. 2017. ffdumas-01953856f
[13] Liu, Qing et al. Traditional Chinese Medicine for Treatment of Alcoholism: From Ancient to Modern. The American Journal of Chinese Medicine. Le Journal américain de médecine chinoise , vol. 39, n° 01 , janvier 2011, p. 1 13
[14] Lin, Renée C., et al. Isoflavonoid compounds extracted from Pueraria lobata suppress alcohol preference in a pharmacogenetic rat model of alcoholism. Alcoolisme : recherche clinique et expérimentale , vol. 20, n ° 4, juin 1996, p. 659 663.
[15] Jin, Seong Eun et al. Anti-inflammatory and antioxidant activities of constituents isolated from Pueraria lobata roots. Archives de la recherche pharmaceutique , vol. 35, n ° 5, mai 2012, p. 823 37.
[16] Lee, Ji-Hyun, et al. The suppressive effect of puerarin on atopic dermatitis-like skin lesions through regulation of inflammatory mediators in vitro and in vivo. Communications de recherche biochimique et biophysique , vol. 498, n ° 4, avril 2018, p. 707 14.
[17] Peng, Ning et al. Chronic Dietary Kudzu Isoflavones Improve Components of Metabolic Syndrome in Stroke-Prone Spontaneously Hypertensive Rats. Journal de chimie agricole et alimentaire , vol. 57, n ° 16, août 2009, p. 7268 7273.
[18] A. Delinistula, . Lorenz, and . Holsboertrachsler. Antidépresseurs végétaux. Forum Médical Suisse -Swiss Medical Forum, 2002.
[19] Walia, Namrata, et al. A Systematic Review of the Use of St. John's Wort for Smoking Cessation in Adults. Cureus , octobre 2021.
[20] Roussel, Michel. Millepertuis, antidépresseur naturel : tout sur la plante qui concurrence les antidépresseurs. Alpen, 2005. 94 p.
Depuis l’Antiquité, c’est une plante médicinale sacrée qui a toujours été associée à des rites et légendes. Elle possède plusieurs noms : Hypericum perforatum, herbe aux milles trous, trucheron jaune herbe aux piqûres, herbe de Saint Jean. En anglais, on retrouve St. John’s wort, et aux Etats-Unis, la Klamath, en référence au lac de l’Oregon [20].
Des précautions d’emploi existent sur le Millepertuis : il est déconseillé de prendre du Millepertuis lorsqu’un traitement anti-dépresseur est en place.
Tout à fait ! Si vous ressentez les bienfaits, vous pouvez prolonger la prise de KUDZU MILLEPERTUIS sur 3 mois.
Cette cure est vraiment efficace ! Elle m'a permis de me débarrasser de mes addictions et de retrouver le contrôle de ma vie.
Depuis que j'ai suivi la cure Kudzu-Millepertuis de Fitoform, je me sens plus sereine et plus en contrôle de mes émotions.
Les résultats sont remarquables
C’est un véritable allié pour ma santé mentale. Je me sens plus stable et moins sujette aux troubles de l'humeur.
C’est un véritable allié pour ma santé mentale. Je me sens plus stable et moins sujette aux troubles de l'humeur.
Pour favoriser le bon fonctionnement du foie et la digestion.
Relaxation, équilibre émotionnel et humeur positive avec le Safran dosé en actifs (safranal, crocine).
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Un bouquet de plantes douces (fleurs d'Oranger), digestives (Anis, Menthe), calmantes (Tilleul, Verveine).
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Nous investissons continuellement dans l'innovation, la préservation de l'environnement et l'amélioration de la qualité de nos produits afin de contribuer significativement à l'amélioration de la qualité de vie, en offrant des produits naturels et en adoptant une approche éco responsable.
La qualité des produits est une valeur primordiale pour Fitoform Compagnie. Ainsi, avant de les commercialiser, l'entreprise procède à de multiples contrôles afin d'assurer leur qualité, leur sécurité et leur efficacité.
Depuis 1992, nous sommes engagés dans la certification Agriculture Biologique avec Ecocert. Plus de 90% de nos références sont certifiées BIO. Soucieux de préserver notre environnement, nous privilégions l'utilisation de cartons et papiers certifiés PEFC et Imprim 'Vert, ainsi qu'une organisation responsable de nos ressources.
Notre raison d'être, c'est vous !
Notre entreprise est reconnue pour sa qualité et l'extrême soin accordé à l'élaboration de nos produits. Nous vous offrons des réponses naturelles pour un nouveau bien-être physiologique et émotionnel : digestion, élimination, articulation, ménopause, immunité, activité cérébrale, fatigue, stress, minceur, beauté...
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