BOULEAU-CURCUMA BIO* - écopack 42 comprimés

Le bouleau - Betula pendula - est un grand arbre de 15 à 18 m de haut, qui pousse dans les régions montagneuses d’Europe et de l’Asie. Son écorce si blanche lui donne le surnom de « l’arbre de la lumière », voire « l’arbre de la sagesse » et encore « l’arbre cosmique » [1].

L’écorce et les feuilles de bouleau sont riches en flavonoïdes, vitamine C et acide bétulique, ce qui leur confère des propriétés diurétiques, dépuratives et antirhumatismales. 

Diurétiques, car elles permettent d’augmenter le volume des urines, donc intensifier l’élimination des déchets tels qu’urée, acide urique, etc… et limiter les infections urinaires (cystites), voire aider à l’élimination des calculs rénaux. 

Petit rappel sur la fonction dépurative : l’acide urique est le produit de dégradation des protéines, qui doit être éliminé par les urines. S’il est présent en trop grandes quantités ou mal éliminé par les reins, l’acide urique devient inflammatoire pour les articulations, ce qui peut provoquer rhumatismes inflammatoires et crises de goutte. L’utilisation du bouleau est très indiquée lors des crises, pour ses vertus dépuratives mais aussi anti-inflammatoires. 

Le bouleau favorise le processus de détoxification de l’organisme et l’activité du foie, des reins et du tractus intestinal [2]. 

Dans cette formule, le Bouleau est associé au Curcuma, une grande plante herbacée vivace, originaire d’Inde et d’Asie du Sud-Est, utilisée comme épice. Il existe près de 80 espèces de plantes du genre curcuma, la plus utilisée et la plus populaire est le curcuma longa. La partie active est la racine ou rhizome, qui renferme une substance polyphénolique lipophile de couleur jaune orangé appelée « curcumine ». La curcumine est parmi les molécules les plus actives et les mieux absorbées par le corps humain. C’est l’une des raisons de sa si grande efficacité sur l’organisme. 

En Asie, le curcuma est plus qu’une simple plante, il est essentiel dans la vie culturelle et sociale. Il est d'ailleurs utilisé pour des usages religieux et aussi comme colorant pour les peintures rupestres et les costumes folkloriques. 

En médecine traditionnelle asiatique, le curcuma est connu pour stimuler la digestion. L’OMS a d’ailleurs reconnu son efficacité dans le traitement des troubles digestifs. Il est utilisé à cet effet depuis plus de 4 000 ans en médecine ayurvédique, protégeant les parois de l’estomac et encourageant le transit. Depuis quelques années, les études se multiplient pour étudier l’apport de la complémentation en curcuma pour améliorer les syndromes d’intestin irritable.  

Impossible d’évoquer le curcuma sans parler de sa puissante action antioxydante, qui en fait un allié de taille pour conserver un foie en bonne santé !! La curcumine combat l’action des radicaux libres nocifs qui, pour rappel, sont à l’origine du stress oxydatif, lui-même responsable du vieillissement prématuré des cellules hépatiques.  

Enfin, le curcuma et son effet anti-inflammatoire sont connus pour favoriser la souplesse des articulations et soulager les problèmes digestifs [3]. 

• Une formule sans excipient ! :  

Notre comprimé est composé uniquement de plantes (Bouleau, Curcuma, Acacia). Il n’y a rien d’autre !  

• Une formule 100% bio 

Nous sommes engagés auprès d’un organisme certificateur agréé, Ecocert, qui bénéficie de plus de 30 années d'expérience en audit et en certification biologique, en France et dans plus de 130 pays. 100% des plantes utilisées dans notre formule sont certifiées Bio. 

• Une formule sans arôme et sans colorant 

Chez Fitoform, pas de superflu ! Peut-être que des arômes ou colorants rendraient le comprimé plus « attrayant », mais nous préférons assurément laisser la place aux plantes et aux actifs.  

• Une dose efficace et une prise facilitée 

Notre formule est présentée en comprimés. Les plantes sont d’abord mélangées sous forme de poudre, puis déposées dans de petites cavités à la forme des futurs comprimés. Ensuite, une intense force de pression est exercée, pour solidifier ce mélange. Facile à transporter et à avaler, le comprimé est une forme galénique qui respecte et protège particulièrement les actifs qui le composent contre les risques externes de dégradation (comme l’oxygène, par exemple).  

• Une sélection de plantes de qualité 

Nous privilégions au maximum les circuits courts, l’origine France dès que possible, la qualité Bio systématique pour nos plantes, des producteurs qui apportent des garanties en termes de qualité, d’efficacité (bulletin d’analyses sur les actifs des plantes), et de sécurité (plan de contrôle). Du sérieux, quoi !  

Notre Bouleau est origine France, provenant d’une culture sauvage dans le Massif Central. La récolte est manuelle pour bien respecter la feuille au stade végétatif. 

• Focus sur la qualité de la formule 

100% d’ingrédients naturels 

100% d’ingrédients actifs 

100% d’ingrédients Bio.

Quantité totale de plantes par dose journalière recommandée* : 1267mg  

*calculée à partir de la somme des poudres de plantes et des équivalents plantes issus des extraits. 

Le foie joue également un rôle important dans de nombreuses fonctions physiologiques, car c'est un lieu de synthèse et/ou de stockage majeur pour les protéines, les glucides, les vitamines et certains ions. 

Côté métabolisme des protéines, le foie participe à la dégradation des protéines en urée – pour une élimination par les reins – et synthétise la majorité des protéines sanguines, comme l’albumine, les protéines de l’inflammation et les facteurs de coagulation. 

Le foie intervient aussi dans le métabolisme des lipides, en transformant les lipides circulants en triglycérides et les stockant dans les cellules hépatiques. En réponse aux besoins énergétiques du corps, ces triglycérides peuvent être ensuite divisés en acides gras et utilisés par l’organisme. Dans le même esprit, le foie participe au métabolisme des vitamines liposolubles A et D, et au stockage de la vitamine K. 

Quant au métabolisme des glucides (glucose, fructose, galactose), ceux-ci sont transformés en glycogène, qui permet de réguler la glycémie par les phénomènes de glycogénogénèse et glycogénolyse. Ce glycogène est stocké au sein des cellules hépatiques. En fonction des besoins de l'organisme, le foie peut retransformer ce glycogène en glucose, et le libérer dans la circulation sanguine. Si les réserves de glycogène sont épuisées, les cellules hépatiques peuvent aussi synthétiser du glucose à partir d'acides aminés, notamment. On parle alors de néoglucogenèse. Le foie est le seul organe à la fois hypoglycémiant et hyperglycémiant. 

Comme le foie, les reins sont également des émonctoires, qui jouent un rôle essentiel dans les mécanismes de drainage et d’élimination. Ils « filtrent » le sang en éliminant dans les urines les déchets produits par le corps, comme l’urée et la créatinine. L’urée est le résultat de la décomposition des protéines par le corps. La créatinine, quant à elle, est produite par les muscles et filtrée par les reins. Rappelons que ces déchets pourraient être toxiques s’ils restaient dans la circulation sanguine ! C’est dire si les reins sont des organes indispensables !  

Outre leur fonction d’élimination des déchets, les reins assument d’autres rôles physiologiques :

• Régulation de la quantité d’eau dans l’organisme :

les reins sont capables d’éliminer le surplus d’eau ou encore de retenir l’eau quand le corps en a besoin d’une plus grande quantité. 

• Équilibre des sels minéraux dans le corps :

notamment pour les sodium, potassium, calcium et phosphate provenant des aliments. En cas d’excès, les reins sont capables d’évacuer le surplus dans les urines. De vrais régulateurs ! 

• Production d’hormones :

les reins fabriquent des hormones essentielles à notre équilibre et notre bien-être, comme celles qui régulent la tension artérielle, contribuent à la production de globules rouges et équilibrent le calcium et le phosphore dans l’organisme. 

Au vu de leur fonctionnement d’élimination des déchets, on comprend mieux pourquoi boire de l’eau en bonne quantité et chaque jour est un réflexe essentiel. Les apports journaliers recommandés en eau sont d’environ 1,5 litre de boissons (eau, café, thé, tisane) auxquels d’ajoutent environ 600 mL apportés par notre alimentation (fruits, légumes, laitages, etc.).

Boire de l’eau permet donc de diluer les urines, limiter le risque de formation de calculs rénaux et prévenir la survenue d’infection urinaire. En cas de sensibilité aux infections urinaires, il est recommandé d’augmenter sa consommation d’eau à environ 2 litres d’eau par jour. A l’inverse, en cas de colique néphrétique, souvent déclenchée par un calcul urinaire, mieux vaut limiter sa consommation d’eau pour éviter de mettre les reins sous tension et d’augmenter la douleur. 

Prendre soin de ses reins passe aussi par une alimentation saine et équilibrée, donc peu riche en graisses saturées et en protéines animales, et peu salée. En effet, un excès de sel à long terme peut favoriser l’hypertension artérielle et endommager les reins. 

Les reins étant si précieux, il est bien sûr conseillé de consulter rapidement son médecin traitant en cas d’apparition de certains troubles (douleurs, urines colorées ou au contraire délavées, etc…) [7]. 

Tout d’abord, quel est le but de la digestion ? C’est de dégrader et transformer les aliments en nutriments qui les composent. En effet, les nutriments (protéines, glucides, lipides, vitamines et minéraux) sont de grosses molécules qui vont devoir être réduites par la digestion pour pouvoir être utilisées par l’organisme. 

Cependant, impossible de parler de digestion sans évoquer TOUT l’appareil digestif, qui va de la bouche à l’anus, en passant par les dents, la langue, les glandes salivaires, l’œsophage, l’estomac, l’intestin grêle puis le côlon et le rectum. Sans oublier l’intervention du foie et du pancréas. Cette longue liste montre bien que le processus de digestion fait intervenir de nombreux organes et compte de nombreuses étapes ! 

Tout commence donc dans la bouche, où les aliments sont mâchés et mélangés à de la salive. L’estomac continue le boulot, par ses mouvements et ses sucs digestifs acides. La progression continue vers l’intestin grêle, où la dégradation du bol alimentaire se poursuit grâce aux sucs digestifs venant du pancréas et de la vésicule biliaire. 

Les aliments sont désormais dégradés en nutriments, ils vont traverser la paroi intestinale pour être absorbés et transportés dans tout le corps : par le sang pour les éléments hydrosolubles (sucres, acides aminés, minéraux), et par la lymphe pour les éléments liposolubles (acides gras), pour aller « nourrir » tous nos organes. 

Ce qui n’est pas métabolisé ou absorbé sera transformé en résidus et poursuivra jusqu’à l’anus pour être expulsé : ce sont les matières fécales [8]. 

Antioxydant  

Là encore, on recense de nombreuses études portant sur l’effet antioxydant de plusieurs variétés de bouleau. Différents extraits de Betula pendula ont par exemple été étudiés pour leurs activités de piégeage des radicaux libres, en vue de lutter contre le stress oxydatif. Mêmes constats pour l'extrait méthanolique à 80% de Betula alnoides.

Anti-inflammatoire 

Un certain nombre d'extraits d'espèces de bouleaux ont montré une activité anti-inflammatoire dans différents modèles de tests, notamment la variété Betula pendula, dont l’extrait aqueux des feuilles a montré une activité anti-inflammatoire in vitro, sûrement grâce à ses teneurs élevées en tanins et autres types de polyphénols.

Effet hépatoprotecteur et gastroprotecteur 

L’utilisation du bouleau repose essentiellement sur l’usage traditionnel et les études cliniques sont rares. Une petite étude réalisée en double aveugle contre placebo sur quelques dizaines de patients présentant une infection urinaire a montré que 39 % du groupe recevant les extraits de bouleau ont vu leur infection régresser contre seulement 18 % dans le groupe placebo. 

CE QU’EN PENSENT LES AUTORITÉS DE SANTÉ

• L’EMA 

L’Agence européenne du médicament considère comme « traditionnellement établi » l’usage du bouleau pour « augmenter le volume des urines émises afin d’effectuer un lavage des voies urinaires, comme moyen adjuvant de traitement des douleurs modérées du tractus urinaire ». Elle recommande d’en réserver l’usage aux adultes et aux enfants de plus de douze ans. 

• LA COMMISSION E 

La Commission E du ministère de la Santé allemand reconnaît l’usage du bouleau comme « thérapeutique d’irrigation du tractus urinaire lors d’infections bactériennes et de calculs rénaux ; le bouleau peut également être utile dans le traitement des rhumatismes ». 

• L’ESCOP 

La Coopération scientifique européenne en phytothérapie considère que le bouleau favorise « l’irrigation des voies urinaires, notamment lors d’inflammation et de calcul rénal, et comme traitement d’appoint des infections bactériennes urinaires ».

Activité antioxydante 

Les propriétés antioxydantes de la curcumine et de ses dérivés ont largement été étudiées, tant sur l’hémoglobine que sur la peroxydation des lipides (rappelons que la peroxydation lipidique joue un rôle important dans l'inflammation, les maladies cardiaques et le cancer).  

Une étude a évalué les propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires de la curcumine, bioactif dérivé de la racine de Curcuma longa L., en administrant différentes doses (faible, modérée, élevée) à des hommes en bonne santé. Les résultats penchaient vers une augmentation systématique des taux plasmatiques de curcumine, donc la capacité antioxydante, mais ces taux n'étaient pas affectés en fonction de la dose.

Digestion 

Depuis des milliers d’années, le curcuma est utilisé pour réduire les douleurs abdominales, mais aussi traiter certains troubles gastro-intestinaux, comme les inflammations ou ulcères, notamment en bloquant la sécrétion d’acide gastrique, d’où ses effets protecteurs sur la muqueuse gastrique. Cela signifie notamment que ses composés actifs ont pour effet de neutraliser et de détruire certaines bactéries, à l’image de « Helicobacter pylori ». Des cures régulières et quotidiennes de curcuma permettraient ainsi à l’organisme de bénéficier des effets préventifs et curatifs de la plante sur les troubles digestifs divers et courants [12]. 

En 1999, l’OMS a recommandé le curcuma dans le traitement des reflux et troubles gastriques comme ballonnements et dyspepsie. C’est justement en ce sens qu’il est indiqué en médecine ayurvédique. L’extrait de Curcuma longa administré per os à des estomacs de rats ligaturés au niveau du pylore a réduit la sécrétion d'acide gastrique et protégé contre la formation de lésions de la muqueuse gastrique. Les chercheurs laissent donc entendre que la curcumine – une épice autrefois reléguée à la cuisine – est passée en clinique et lui donne le surnom amusant mais révélateur de « Curecumine » [13, 14] 

Curcuma & syndrome de l’intestin irritable  

Une étude clinique effectuée au Royaume-Uni a montré une diminution des symptômes chez plus de 200 patients souffrant du syndrome de l’intestin irritable et traités avec des comprimés de curcuma. Les chercheurs ont recommandé que d’autres études plus vastes, contrôlées par placebo, soient effectuées. On espère que les résultats permettront d’étendre l’effet du curcuma à d’autres maladies digestives inflammatoires, comme la maladie de Crohn [15] !